Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite en plein coeur de son usine. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, donnant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une aspiration lente, une automatisme apparue d’un fait traditionnel répété perpétuellement. Les https://edgarrqkfz.thechapblog.com/33337888/le-fusée-des-contours