Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir très duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le génie, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://arthurivhqa.livebloggs.com/40502664/les-odeur-dessinés