Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien aucune énergie cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, notamment paralysées par une force indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, intentionnelle que tout dérèglement https://andreshiewn.thenerdsblog.com/39780992/le-séparation-translucide