Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son automatisme, attendait que l’obsidienne parle à nouveau. La pierre noire semblait absorber la clarté lunaire, pervibrer marqué par la pression du vent, et dans certains cas, sans alerter, elle résonnait de https://lauriana-voyance65318.thechapblog.com/33041634/le-bombe-sans-ombrage