L’aube approchait lentement, mais selênê persistait du ciel, accrochée aux dernières ombres de la nuit. Sybille marchait sans agitation par la ville assoupie, incidence par une tranquillité nouvelle. Voyance Olivier l’accompagnait dans cette errance nocturne, imprégnant n'importe quel entendement du vent et tout frisson franchissant sa peau. L’air était bourré https://fernandoyatlb.blogdosaga.com/32891708/les-marées-du-destin-selon-voyance-olivier